Depuis le Nouvel-An chinois et l’explosion du virus, le mal est partout: confinement ou semi-confinement, chômeurs par millions, frontières fermées à double tour, tourisme au point mort, famine guettant les plus pauvres… Le monde est paralysé.

Le hic, c’est que personne ne sait revenir en arrière. On a ouvert la boîte de Pandore et, comme la première femme créée par Zeus, plus personne ne sait la refermer.

Pourtant, il faut bien remettre les pieds sur terre. La planche à billets a ses limites. Sans reprise de l’économie, pas d’hôpitaux ni d’écoles. La peur est mauvaise conseillère. Quand il pleut ou qu’il grêle, vaut-il mieux s’enfermer à la maison ou mettre des bottes et ouvrir un parapluie? La question posée pas le conseiller fédéral Ueli Maurer mérite réponse.

Maintenant qu’il vaut mieux affronter les éléments, il convient de définir la pointure des bottes et la taille du parapluie. Un démarrage de l’activité doit reprendre: rouvrir les écoles, les restaurants, les hôtels et les divertissements avec les mesures de protection adéquates, relancer les vols mais sans low-cost, rouvrir les frontières en contrôlant les passages. Refermons la maudite boîte de Pandore avec tous les maux qu’elle contenait!

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