
Charlotte Gabris veut déjeuner en paix
La comédienne suisse de Paris, à l’affiche de «Divorce Club», dénonce la rivalité féminine dans «Déjeuner en paix», un subtil et malicieux premier roman.
La comédienne suisse de Paris, à l’affiche de «Divorce Club», dénonce la rivalité féminine dans «Déjeuner en paix», un subtil et malicieux premier roman.
En ces temps de néant, de pause, de presque rien au milieu de nulle part, l’art, le cinéma et la musique nous montrent plus que jamais à quel point notre bien-être passe par l’image, le son, par les histoires ou les sensations… Et aujourd’hui aussi, to be connected oblige, par le digital!
On connaît ses photographies de danse et celles de ses jeunes filles en fleur. Le talent de Philippe Pache n’est plus à dire. Il est reconnu jusqu’à Houston où la collection du Musée des beaux-arts texan recèle quelques-uns de ses plus beaux tirages.
En ces jours de peste et de réclusion, disserter sur la fin du monde ici et maintenant est d’un parfait à-propos. Personnalité de l’économie romande passé aux Lettres (Siemens, GE, Airesis), Philippe Erard n’en manque pas. Paru à l’instant, son deuxième roman s’intitule “Les trois fous et la fin du monde”.
Chose promise, chose due. Il y a un an, Philippine Cruse nous annonçait la création prochaine de sa maison d’édition, à Lausanne. C’est fait. Herodios – c’est son nom – vient de publier un roman de Corinne Atlas, «Les Riverains».
Vous adoriez sortir? Pour «se faire une toile», assistez à un spectacle ou à un concert? Restez chez vous et allumez votre ordinateur!